Excessif, bancal, outrancier dans son humour, maladif dans son militarisme grandiloquent, emphatique dans sa perception du monde et des sentiments, Transformers 2 - La revanche est à Transformers ce que Bad boys 2 est à Bad boys : plus impressionnant...
Lire la suiteBlow up
Palmes d’or légendaires 1/7 - 196 7 A vant Zabriskie Point et Profession : reporter, visions extatiques et politiques de l’individu face à la société, de sa fuite existentielle dans un monde contemporain redevenu comme archaïque (et réputés chacun pour...
Lire la suiteLes beaux gosses
Face à ces Beaux gosses en total mode Deschiens, à ces chroniques super connes et drôles des années collège jouissant d’un buzz bizarroïde, âge tendre et tête de bois ont laissé place à âge bête et tête de nœud (et particulièrement à claques). Cette immersion...
Lire la suiteVery bad trip
Décalque standard du déjà négligeable Very bad things, Very bad trip (bon les gars, pour les prochaines traductions des titres, va falloir arrêter les brainstormings avec la coke et les putes) n’a aucune espèce d’intérêt en soi, le film se regardant à...
Lire la suiteDes hauts et débats : la cage aux folles ?
Pressé, défié (harcelé ?) par cette entêtée d' Ashtray-girl me proposant d’organiser ensemble un débat "casse-gueule" suite à une remarque, dans ma critique concernant Star Trek , sur le couple crypto-gay Kirk/Spock, j’ai dû me fendre d’un article évoquant,...
Lire la suiteTerminator renaissance
Comme il semble loin le temps d’un Schwarzenegger impassible et inquiétant, du brushing so eighties de Linda Hamilton et des bons vieux effets spéciaux à la papa Winston. Et loin aussi le temps des Guns N’ Roses, du "Hasta la vista, baby!" et de Robert...
Lire la suiteAntichrist
Est-ce un rêve tragique, ou plutôt un cauchemar fiévreux ? Rêve d’une femme, cauchemar d’une mère envisageant, fantasmant la mort de son fils ? La belle séquence inaugurale, en noir et blanc, serait de fait comme un songe primal annonçant le délire à...
Lire la suiteÉtreintes brisées
Plus que brisées, les étreintes de Pedro Almodóvar paraissent tristement inhibées et s’ouvrent à une grande frustration plutôt qu’à un émerveillement. Atone, sans risque, constamment en attente, comme suspendue mais ne se manifestant jamais, Étreintes...
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